Pot Mademoiselle Georges

Mademoiselle Georges tient son nom de Marguerite Georges, actrice de théâtre française connue au 19ème siècle pour son talent, sa superbe silhouette classique et… sa liaison infâme avec Napoléon.
Avec ses douces couleurs pastel et ses formes rondes et gracieuses, cette collection capsule est une ode à la délicatesse et à la féminité. On peut les imaginer exposés dans un boudoir, sur une chambre ou sur une table de maquillage, témoins de la beauté et du secret.

Maison Dada

Maison Dada, éditeur de design depuis 2015, a été créée à Shanghai par Thomas Dariel et Delphine Moreau.

Maison Dada est née du rêve fou d’injecter une dose de dadaïsme dans notre quotidien. Maison Dada développe des meubles, des luminaires, des tapis et des accessoires avec en tête le désir de créer l’inattendu à partir d’objets ordinaires, la volonté d’harmoniser le rêve et la réalité.
Dada est un état d’esprit

Collages, inventions, réappropriations : Maison Dada crée des objets doucement fous, défiant les certitudes, le goût et la gravité. Le style est poétique, audacieux, ludique, audacieux et basé sur la conviction que tout le monde mérite un design inspirant et significatif.

La direction artistique de Maison Dada est assurée par Thomas Dariel, qui dirige le potentiel créatif de l’entreprise en créant ses propres pièces et en supervisant le choix du design global.

Maison Dada tire son nom du dadaïsme. Il s’agit pour moi de l’un des mouvements artistiques les plus importants du 20e siècle, car je le considère comme le fondement du design contemporain, de l’art contemporain et d’un mode de pensée contemporain. Le dadaïsme est un état d’esprit. Cette liberté fait partie de ma signature, même pour la décoration d’intérieur. La première collection de Maison Dada en est le reflet. D’une imagination débridée qui donne vie aux objets. Je ne veux pas de meubles unanimes. J’aime qu’ils aient une âme, qu’ils racontent une histoire.

Lampe Dali Divina

Dans la tradition de l’imaginaire de la Maison Dada, on pourrait croire que cette délicieuse pièce tire son nom de l’indécrottable artiste surréaliste Salvador Dali. Alors qu’il s’agit en fait d’une ode du designer Thomas Dariel à sa fille Dali (c’est elle qui porte le nom du célèbre artiste !). La lampe de table est une pièce parfaitement équilibrée composée d’une base pyramidale surmontée d’un élégant abat-jour en forme de dôme. Sur la base de la lampe, l’interrupteur est constitué d’une petite boule métallique qu’il suffit d’effleurer pour l’allumer. Rappelant une tige de cerise, le bouton tactile ajoute une dose d’humour au design. Dali Divina est exquise mais légèrement excentrique.

Bougeoir Immobile n°4

Fantaisiste, abstrait et raffiné, La collection des Immobiles rend hommage à ces artistes prodiges comme Rodchenko, Calder ou encore Tinguely, qui ont tous questionné le mouvement, la gravité et la perception. Rompant avec les formes classiques de bougeoirs, Les Immobiles célèbrent la liberté de mouvement et son imprévisibilité de mouvement malgré ses lignes dynamiques, son instabilité apparente et ses éléments qui se reflètent. Graphique et géométrique, sophistiqué mais ludique, chacun des Immobiles est une sculpture merveilleuse.

This is not a self portrait

Dans toutes les civilisations occidentales anciennes, des statues glorieuses et des œuvres d’art magistrales ont été commandées pour commémorer et immortaliser des figures héroïques. THIS IS NOT A SELF PORTRAIT remet en question ces anciennes traditions en masquant l’identité du héros derrière des bandages pour créer une aurore de mystère. Le gland chinois suspendu ajoute un élément asiatique qui symbolise le concept de réinterprétation de l’art occidental. Chaque pièce est faite à la main pour apporter une touche unique à tout espace.